Le cheminement vers l’acquisition d’une machine CNC

Texte original rédigé en anglais par Jolanda Slagmolen-Flores, directrice générale et conceptrice associée de cuisines et de salles de bains, Casa Flores Cabinetry, Alberta, pour l’Association canadienne des armoires de cuisines (CKCA)

Vous vous souvenez peut-être qu’en juin 2019, CKCA a partagé le récit de Casa Flores Cabinetry, une entreprise albertaine, qui a reçu une subvention fédérale de 100 000 $ lui permettant d’obtenir le capital de départ dont elle avait tant besoin pour poursuivre son expansion. Une partie du processus d’octroi de la subvention imposait à Casa Flores de financer également une partie de cette expansion.

Progressant à grands pas, Casa Flores bénéficie désormais des avantages d’une machine CNC pleinement fonctionnelle. Alors que de nombreuses entreprises envisagent ce tournant, nous sommes heureux de vous présenter la « deuxième partie » du récit de Casa Flores. Les opinions exprimées ici sont celles de l’entreprise et sont partagées dans le cadre de la vision de l’Association canadienne des fabricants d’armoires de cuisine (ACAC), qui se consacre à inspirer l’innovation et le progrès au sein de l’industrie.

« Au fil des années, j’ai mis à l’essai différents logiciels. Comme la décision était toujours prise en fonction du coût, les programmes mis à l’essai étaient généralement trop élémentaires par rapport à nos besoins (nous faisons beaucoup de travail sur mesure). Cette fois-ci, mes recherches portaient sur le bon programme, et pas forcément le moins cher. » – Jolanda Slagmolen-Flores, directrice générale et conceptrice associée de cuisines et de salles de bains, Casa Flores Cabinetry, Alberta

Le cheminement vers l’acquisition d’une machine CNC

De fil en aiguille, la croissance de notre entreprise a plafonné et j’ai pris conscience que, pour la faire évoluer, nous devions investir dans la technologie CNC. Voici le récit de notre parcours, de petit atelier manuel à une entreprise en pleine croissance dotée de technologies de pointe. Lire l’article au complete ici.